COVID-19 et médecines traditionnelles et ancestrales (suite): le traitement indien

24/04/2020

Depuis la publication du dossier sur le COVID-19 parue sur le site www.chamanisme-vivant.webnode.fr, les choses ont évolué et semblent confirmer les hypothèses et découvertes précédentes. Je suis heureux d'apprendre par les gens qui me connaissent que les outils de ce dossier les ont aidé. A présent, je souhaite faire un nouveau point sur cette pandémie. Cette fois-ci, je serai plus concis car tout a déjà été dit dans le dossier. Je ne ferai que compléter quelques informations. Enfin, je profiterai de cet écrit pour publier la marche à suivre en matière de traitement et de prévention proposée par les médecines traditionnelles indiennes dans un communiqué du ministère Ayush datant du 29 janvier 2020 afin que tous les outils soient bien mis à disposition pour tous les tradipraticiens et médecins qui liraient mes articles. Vous trouverez aussi d'autres sources d'informations en fin d'article.


1.COVID-19: ce que nous savons aujourd'hui

Ce que nous savons au sujet du COVID-19 est assez perturbant. Nous avons vu dans le dossier précédent que l'approche pasteurienne tant promue par la médecine occidentale moderne a été invalidée au moins deux fois par la médecine occidentale elle-même. L'approche de Pasteur se base sur l'asepsie du milieu intérieur et la panspermie atmosphérique: nous serions totalement stérile (sans organisme vivant) à l'intérieur de notre corps et les virus, microbes et maladies proviendraient de l'extérieur du corps, notamment par l'air. Ceci a été invalidé dès l'époque de Pasteur, il y a 140 ans, par Béchamp et ses collègues qui ont démontré que c'est bien l'organisme, selon les conditions dans lesquelles il se trouvait, qui produisait ses microbes et bactéries.

Béchamp avait ainsi prouvé que le microbe n'est rien et que le terrain est tout. Il avait ainsi donné raison, sûrement sans le savoir, aux médecines traditionnelles ancestrales qui enseignent toutes cela par l'analogie. L'approche pasteurienne a été une deuxième fois invalidée par la Science au cours du siècle dernier lorsque les scientifiques ont découvert la population microbienne de nos intestins, remettant ainsi en cause l'asepsie du milieu intérieur. Nous avons aussi largement étudié comment Pasteur avait redoublé de stratégies politiques pour imposer son dogme erroné à la communauté scientifique. Sur la base du dogme pasteurien erroné, une pandémie a été déclarée en seulement quatre mois et ce alors qu'il n'y avait et il n'y a toujours pas de définition claire du COVID-19, et toujours pas de test de diagnostic adopté à l'unanimité par la communauté scientifique pour détecter les malades. Ce dernier point portant sur le diagnostic remet d'ailleurs en cause toutes les statistiques qui sont aujourd'hui surmédiatisées et manipulées par les autorités et les industries.

Nous avons identifié différents facteurs causant le COVID-19 parmi lesquels se trouent la vaccination et le vaccin anti-grippe. La vaccination est en effet la cause d'un véritable génocide depuis 140 ans: mortalité infantile doublée en Afrique du Sud à cause du vaccin DTP-coqueluche selon le rapport de l'OMS de 2018, stérilité des femmes et jeunes filles au Kenya causée par le vaccin antitétanique et dénoncé par le gouvernement kenyen comme crime contre l'humanité, etc... De plus, il a été démontré dans une étude américaine pro-vaccin que le vaccin anti-grippe avait pour effet secondaire de favoriser les coronavirus. Ceci se confirme encore aujourd'hui par le fait que les pays les plus touchés par le virus sont aussi ceux qui ont le plus haut taux de vaccination anti-grippe.

A cela s'ajoutent l'usage devenu banal des médicaments chimiques affaiblissant l'immunité (immuno-suppresseurs, anti-infammatoires stéroidiens et non stéroidiens, hypertenseurs, statines, etc...) et différents facteurs aggravants (problèmes sanitaires, conditions de vie, parcours personnel du patient). Nous avons vu que cette épidémie est une épidémie banale, qui fait moins de morts que la grippe saisonnière mais qui affole par sa surmédiatisation et les réactions des autorités sanitaires et politiques. Il s'est aussi révélé que le COVID-19 n'est pas une maladie en soi mais n'est que le symptôme d'une variante d'un syndrome appelé en médecine traditionnelle chinoise Gan Mao qui regroupe toutes les affections allant du rhume à la grippe, la bronchite et aux affections plus graves.

Le syndrome causant le COVID-19 se caractérise par un froid vide, une attaque d'énergie perverse ayant pénétré les couches internes de l'organisme déjà affaibli provoquant une diminution de l'énergie yang correcte du corps et une énergie yin correcte se retrouvant en excès. En d'autres termes, le corps veut se nettoyer et se rééquilibrer par les voies habituelles que sont le rhume et la fièvre mais n'y parvient pas car le terrain est trop déséquilibré et l'immunité est sapé. Tout ceci peut être lu en détails dans le dossier sur le COVID-19 et les médecines traditionnelles ancestrales paru précédemment.

A cela, je n'ajouterai que deux éléments découverts plus récemment. Tout d'abord, le vaccin anti-grippe n'est probablement pas le seul vaccin en cause puisque dans le Nord de l'Italie, une étrange pneumonie a sévi chez les personnes âgées avant la découverte du virus en Chine suite à une campagne de vaccin contre la méningite. Ensuite, il est fort à parier que la mise en place des antennes 5G est contribué à l'affaiblissement de l'immunité des populations. Cela est largement détaillé par Thierry Casasnovas et le docteur et chaman Tal Schaler ainsi que d'autres médecins occidentaux. Cet élément est pour le moment une hypothèse sur laquelle je ne tiens pas à m'attarder. Cependant, la censure exercée par youtube à ce sujet et l'interdiction en Suisse de ces antennes du fait des dangers détectés et reconnus là-bas par les autorités m'obligent à en faire part. Pour conclure, nous avons donc une maladie réelle, dont l'origine est attribuée à une épidémie irréelle et surmédiatisée.


2.La stratégie du choc et la chasse aux sorcières

Dans ce contexte de pandémie, les autorités politiques usent de la stratégie du choc décrit par Naomie Klein: tandis que la population est sous le choc de la pandémie, les autorité parviennent à imposer des mesures libérales, restreignant les libertés fondamentales. Ainsi, en Hongrie, le premier ministre Viktor Orban, profitant du choc suscité par le virus, est parvenu à faire passer une nouvelle loi lui conférant les pleins pouvoirs et lui permettant de condamner ses adversaires qualifiés d'alliés du virus. En France, le gouvernement a répondu à la pandémie en choisissant l'autoritarisme et le contrôle renforcé de la population. Le confinement est imposé et ce alors qu'aucune donnée scientifique n'a permis de prouver l'efficacité de cette stratégie. Le déconfinement est annoncé progressif jusqu'à l'obtention d'un vaccin anti-Covid-19 miraculeux et laisse pressentir une crise socio-économique semblable à ce qui s'est passé en Grèce il y a quelques années.

Dans ce contexte, les Français sortant de chez eux sans une attestation justifiant leur déplacement (les motifs de déplacement sont listés et limités) risquent une amende voire la prison au bout de quatre récidives. Des drones ont même été déployés pour surveiller la population tandis que les hôpitaux, fautes de moyens du fait des restrictions budgétaires imposées par les trois derniers présidents, peinent à aider les malades. Ce confinement a été imposé de façon illégale à la population et fait désormais l'objet de l'association d'avocats Réaction 19 qui reprend chaque amende afin de les contester en justice.

Dans l'optique de la stratégie du choc, les industries pharmaceutiques, aidées par les autorités et l'OMS, redoublent d'efforts pour mettre au point le fameux remède et déploient toute la force de propagande pour désinformer, discréditer, diffamer et censurer les médecins et thérapeutes dénonçant ce qui se passe en coulisse. Le président français Macron a ainsi clairement présenté le vaccin comme l'unique solution pour sortir de l'épidémie en avril 2020 et ce malgré tous les dégâts causés par la vaccination qui sont largement dénoncés depuis des années. En France, une véritable chasse aux sorcières est aussi lancée contre les alternatives aux vaccins.

Ainsi, début avril 2020, un pharmacien de Montpellier a été placé en garde à vue prolongée et mis sous contrôle judiciaire pour avoir prescrit de l'oscillococcinum, un remède homéopathique servant à prévenir et traiter les états grippaux, pour les patients atteints du COVID-19. Le discrédit est aussi jeté par les médias et par l'OMS sur la Chine qui a utilisé la médecine traditionnelle chinoise pour sortir de la crise et ce malgré les résultats effectifs qu'on ne peut nier, même si le bilan du nombre de morts peut être discuté.


3.Le cas indien

Toujours dans l'optique de la chasse aux sorcières, l'OMS a recommandé de ne pas avoir recours à l'homéopathie. Il a aussi été communiqué dans les médias français que le laboratoire Boiron ne recommandait pas l'homéopathie et ses propres produits dans le traitement du virus. Là encore, il y a désinformation de la part des médias et de l'OMS. Si nous lisons le vrai discours du laboratoire, voici ce qui est dit:

"Dans la situation épidémique que nous traversons, chacun doit agir avec responsabilité et suivre les recommandations publiées par les instances sanitaires de son pays. Il ne faut pas faire croire que l'homéopathie serait une solution 'miracle' et ainsi prendre le risque de détourner certains de la conduite à tenir dans ce contexte" [...] "Nous ne pouvons donc en aucun cas cautionner l'usage d'Oscillococcinum pour la prévention ou le traitement des infections respiratoires liées au coronavirus".

Les choses sont claires: il est dit de ne pas faire de l'homéopathie la solution miracle au virus et d'utiliser l'oscillococcinum pour prévenir ou traiter le COVID-19. Il n'a cependant pas été dit que l'homéopathie ne pouvait pas servir du tout. L'Inde avait très bien compris cela. Ainsi, le ministère Ayush chargé de la recherche et de la promotion des médecines traditionnelles et naturelles a publié un communiqué le 29 janvier 2020 présentant une démarche pluridisciplinaire alliant l'homéopathie en prévention et les remèdes de la médecine Yunani, une médecine traditionnelle reconnue en Inde comme l'ayurvéda, en guise de traitement préventif et curatif.

Une critique pourrait être émise à l'encontre de cette méthode: l'Inde a opté en mars pour le confinement, ce qui peut laisser les détracteurs éventuels penser que cette méthode serait inefficace. Seulement, il faut regarder le contexte politique réel du pays pour comprendre ce choix. L'Inde, pourtant proche de la Chine (donc du premier foyer du virus), ne comptait que 166 morts reconnus du COVID-19 au début du mois d'avril 2020 pour une population d'environ 1,3 milliard d'habitants. Malgré un nombre aussi peu élevé de morts, le confinement a été adopté par le premier ministre indien Narendra Modi le 24 mars 2020.

Là encore, nous pouvons y voir un stratégie du choc et non une réelle stratégie sanitaire. Le premier ministre est membre du parti nationaliste hindou et est réputé pour sa xénophobie et ses discours anti-musulmans. Ses sentiments anti-musulmans se sont concrétisés en partie le 10 janvier, bien avant l'épidémie, lorsque son bras droit Amit Shah a notifié l'entrée en vigueur de la réforme de la nationalité, malgré les manifestations, empêchant ainsi les réfugiés musulmans de pouvoir régulariser leur situation et demander la nationalité. En confinant le peuple et en le divisant, celui-ci devient plus obéissant. Toutefois, du fait du confinement et du contexte social complexe, l'Inde se dirige vers une crise humanitaire très dure dont les Indiens auront à se relever.

La pandémie du COVID-19 a donc été déclarée sur la base d'une approche fausse et invalidée scientifiquement (l'approche pasteurienne). La maladie du COVID-19 et ses causes sont mal définies et les tests de diagnostic réels toujours inexistant. Le choc suscité par cette pandémie a permis aux autorités et aux industries d'imposer des décisions anti-démocratiques et des essais cliniques à la population en laissant de côté les droits fondamentaux, la rigueur scientifique et l'éthique.

Le COVID-19, du point de vue des médecines traditionnelles et ancestrales est une variante d'une réaction de rééquilibrage du terrain dont les symptômes peuvent varier du simple rhume à la grippe et aux affections plus importantes. Dans notre approche, cette réaction de rééquilibrage qui ne se passe pas bien résulte de la vaccination, de l'usage des médicaments affaiblissant l'immunité et d'autres facteurs aggravant. Une première méthode de traitement préventif et curatif a été proposée dans le dossier précédent, basée sur les données de la médecine traditionnelle chinoise, de l'homéopathie et du chamanisme oriental.

Vous trouverez en fin d'article la méthode préconisée par le ministère Ayush en Inde qui va dans le même sens avec des outils différents (tisanes, régime alimentaire personnalisé, etc...). Le choix du confinement par l'Inde n'ôte rien à la validité de cette méthode car ce choix ne dépendait pas d'une stratégie sanitaire mais politique (stratégie du choc). Vous trouverez aussi deux liens menant à deux vidéos Youtube. La première porte sur la stratégie du choc utilisée pendant la pandémie par les autorités. La deuxième est une communication de Thierry Casasnovas et Tal Schaler sur le virus. Dans cette vidéo, ils proposent une vision holistique du virus et de la maladie COVID-19 basée non pas sur les médecines traditionnelles et ancestrales mais sur la Science occidentale. Ils dénoncent aussi l'approche pasteurienne et les manipulations exercées par les autorités et les médias.

Chaque individu perçoit la Vérité depuis sa propre réalité. Ainsi, vous verrez que la vision de la maladie et de la pandémie proposée par Cassasnovas et Tal Schaler est la même que celle présentée dans le dossier précédent et dans la médecine indienne mais exprimée dans un langage scientifique. Cet article, ces vidéos et ce dossier vous fournissent ainsi toutes les informations nécessaires pour traiter la maladie et ne pas se laisser piéger par le jeu des autorités et des industries. Cette situation est le résultat d'un modèle de société erroné. Il est temps pour nous de changer de modèle, de prendre notre santé et notre vie en main, et de créer tous ensemble le monde de demain.

Sur la stratégie du choc

https://www.youtube.com/: watch?v=ZKFgJHOzJwg

Sur le COVID-19, intervention de Thierry Casasnovas et Tal Schaler

 https://www.youtube.com/watch?v=l94woaRN2Co

Ci-dessous, le communiqué du ministère Ayush du 29/01/2020 téléchargeable gratuitement: